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La Fondation Apprentis d'Auteuil International (FAAI) recherche un(e) stagiaire engagé(e) et motivé(e) en recherche de fonds et partenariats pour ses projets en Suisse et à l’international pour une durée de six mois, à partir de mars 2025. Etablie à Genève en 2013, la Fondation Apprentis d’Auteuil International (FAAI) a pour mission d’agir pour les jeunes en grande vulnérabilité en Suisse et à l’international. Son action s’articule autour de quatre programmes : la protection de l’enfance, l’insertion professionnelle des jeunes, l’accompagnement des familles et la défense des droits de l’enfant. En association avec ses partenaires sur le terrain, la Fondation soutient les projets de coopération internationale de la Fondation Apprentis d’Auteuil dans 12 pays à ressources limités. Elle porte auprès des institutions des Nations unies à Genève un plaidoyer en faveur des droits de l’enfant, tout particulièrement des enfants en situation de rue. En Suisse, elle soutient aussi des jeunes en situation de décrochage scolaire grâce à son restaurant d’insertion professionnelle à Genève, le Birdhouse.

Le 20 novembre dernier, la Journée internationale des droits de l’enfant était célébrée aux quatre coins du monde. Cette journée célèbre l’adoption historique, le 20 novembre 1989, de la Convention internationale relative aux droits de l’enfant (CIDE), l’occasion de réaffirmer que les enfants possèdent des droits spécifiques, y compris celles et ceux qui sont en situation de rue. Confrontés à des stigmatisations quotidiennes qui renforcent leur exclusion sociale et les privent de leurs droits fondamentaux, les enfants en situation de rue demeurent parmi les plus vulnérables. C'est pourquoi, cette année, la Fondation Apprentis d’Auteuil International (FAAI), aux côtés de plusieurs de ses partenaires locaux, a choisi de concentrer sa campagne pour le 20 novembre sur le thème NON à la stigmatisation des enfants en situation de rue.

Accompagner les familles les plus vulnérables et les soutenir les parents dans leurs pratiques éducatives fait partie de nos missions principales, car il s’agit de promouvoir les droits des enfants. C’est dans cet objectif que les Maisons des Familles ont été implantées dans plusieurs pays où nous et nos partenaires travaillons, à savoir en République Démocratique du Congo, au Burkina Faso, au Cambodge et aux Philippines. Jules Kindembo, travailleur social à la Maison des Familles de Kinshasa (RDC), témoigne de son engagement profond envers les familles les plus vulnérables et de son ambition de transmettre ses connaissances aux enfants et à leurs familles.

La semaine passée, nous avons accueilli notre partenaire local de Madagascar, la Plateforme de la Société Civile pour l’Enfance (PFSCE), dans le cadre de la pré-session de l’Examen Périodique Universel* de Madagascar. Sarobidy et Olivier, deux adolescents soutenus par la PFSCE, devaient venir prononcer un discours à Genève devant les diplomates. Malheureusement, en raison d’un refus de visa, ils n’ont pas pu être présents. Par conséquent, la vice-présidente de la Plateforme a fait résonner leurs voix à l’ONU en lisant le discours préparé par Sarobidy lors de la pré-session de Madagascar. Un moment fort en émotion, on vous raconte !

Le 20 novembre de chaque année, nous célébrons la Journée Internationale des droits de l’enfant. Comme tous les autres, les enfants en situation de rue ont des droits. Pourtant, ils sont bien trop souvent victimes de stigmatisation, de discriminations ou encore de violences. En cette Journée internationale, nous leur donnons la parole : découvrez le témoignage d’Erick, ce jeune péruvien soutenu par notre partenaire Qosqo Maki, venu témoigner aux Nations-Unies à Genève

Depuis maintenant 8 ans, nous organisons une rencontre annuelle de nos partenaires internationaux, qui se retrouvent à l’occasion des « Communautés de Pratiques et de Savoirs ». L’objectif est simple : développer nos compétences et les outils de nos partenaires qui sont confrontés à des problématiques communes, notamment en ce qui concerne l’accompagnement des enfants en situation de rue. À terme, il s’agit de développer le travail en tant que réseau d’acteurs de la société civile.

Chaque 11 octobre, nous célébrons la Journée internationale de la fille pour mettre en lumière les inégalités et défis spécifiques auxquels les filles et jeunes femmes sont confrontées. Elles représentent 50% de la population mondiale et pourtant, elles sont trop souvent oubliées et particulièrement en proie aux violences. Les jeunes filles en situation de vulnérabilité souffrent de discriminations graves qui les empêchent d’accéder à leurs droits. Comment les soutenir afin de leur permettre de développer leurs capacités et réaliser leurs rêves ? L’accès à l’éducation et la lutte contre les violences sont deux leviers d’action essentiels pour y arriver.

En septembre, nous avons eu le plaisir d’accueillir à Genève Erick un jeune péruvien de 17 ans et Jorge, responsable à Qosqo Maki, notre partenaire local au Pérou. Ils sont venus s’entretenir avec le Comité des droits de l’enfant de l’ONU lors de la pré-session du Pérou, qui sera examiné prochainement par les experts. Qosqo Maki travaille de près avec des enfants et des jeunes qui, comme Erick, sont en situation de rue à Cusco.

En marge de la Journée internationale des enfants en situation de rue (12 avril), deux enfants ayant connu les rues de Madagascar sont venus à Genève pour témoigner de leur vécu aux Nations Unies. Les deux jeunes ont pris la parole lors de la Journée annuelle sur les droits de l’enfant du Conseil des droits de l’Homme, qui portait sur la protection sociale inclusive. Récit de cette aventure extraordinaire par Ronaldo et Marie Elia, 13 ans.